
Je me définis comme un artiste de lumière écosystémique
Autodidacte (formation initiale en environnement, installations classées), ancien concepteur lumière de danse, redevenu autodidacte, tout mon travail équilibre les cycles énergétiques et éco-réfléchissants.
Ainsi, depuis de nombreuses années, à une époque qui menace de basculer radicalement vers l’abîme écologique, j’ai considéré la lumière non seulement en termes cognitifs, physiques, énergétiques et communicatifs, mais aussi comme un élément qui nous relie aux fondements de la vie. Frappant, éphémère, fragile, puissant et éphémère. Les actions artistiques que je propose ne se limitent pas à des actions animées de transformation urbaine. Ils tendent à s’engager dans l’approfondissement du sens de l’espace public et même du bien commun en considérant l’art comme un outil contemporain pertinent pour les mutations des domaines et des idées.
En termes simples, ces efforts reposent généralement sur trois axes de travail :
– Efficacité énergétique/éclairage et œuvres dynamiques, comme l’œuvre « Rollin' », par exemple dans des espaces publics à surface d’exposition limitée, qui fonctionnent en maximisant la visibilité grâce au mouvement et en compensant l’énergie par l’extinction de l’éclairage public.
– La série Réduire Consommation/Maintenant (sans watts), fonctionne en soustrayant les « fées du pouvoir » et utilise des matériaux recyclés inactivés issus du domaine de l’éclairage domestique, de théâtre ou architectural.
– Œuvres d’énergies renouvelables/« rétroéclairage », pérennes, « fonctionnalistes » prévues pour les espaces publics et utilisant des matériaux photovoltaïques pour produire de l’énergie plutôt que de la consommer (certaines de ces œuvres servent à la fois de centrales photovoltaïques économiquement rentables et de marque artistique d’un lieu).